Entraînement de vrai printemps

Date
22 avril 2013

Durée
6h

Type de sortie
Classique
Département
Seine et Marne (77)

Massif


Commune
Puiselet

Photos







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Descriptif / Compte-rendu
Par un beau dimanche d’avril, une séance d'entraînement est organisée au Puiselet (77).
Rendez-vous directement au Puiselet pour 10h30 ou au local à 9h. En fait, Delphine est passée la veille au club et a déjà pris tout le matériel collectif (7 cordes et des amarrages) et les matos individuels (4 matos). Philippe K et Delphine iront donc directement au Puiselet ainsi que Cécile et Dinny (qui eux devront rentrer un peu plus tôt que tout le monde). Laurent, Arnaud et Hélène viendront directement de la grande banlieue Ouest. Je retrouve donc simplement Philippe T et Claire venus en moto à 9h devant l’OMS. Nous ne rentrerons pas dans le parking car personne n’ouvre la porte du garage et je ne suis pas passé récupérer la clé! Pour éviter d’attendre cinq minutes de plus, nous prenons Loan au passage devant l’intermarché. Lorianne, qui devait initialement nous retrouver, a du se désister la veille pour raison professionnelle (tu te rattraperas une prochaine fois!). Nous sommes donc quatre à rouler sur la N118 puis l’A6 (plus tous les autres se réjouissant derrière leurs vitres d’un joli dimanche). Cela roule bien et nous arrivons sur place juste avant 10h30. Comme nous sommes les premiers et sans matos, nous montons juste nos affaires au pied du rocher et préparons un petit café, la bâche disposée sur les premiers centimètres carrés ensoleillés. Une portière qui claque, un coffre aussi …et voilà Philippe qui monte la pénible pente de sable. Nous descendons et aidons à amener le reste des affaires. Le matériel étant là, nous nous habillons en spéléo mais doucement, nous sommes dimanche et tout le monde n’est pas arrivé.
Et voilĂ  Dinny et CĂ©cile. Le soleil donne maintenant au-dessus du rocher.
Nous voilà partis à équiper des voies : Claire celle de la fissure sous l’œil attentif de Philippe T, puis Delphine celle de la déviation, Loan celle de la vire partant non loin des broches à tiro, et je m’offre la classique vire du milieu qui permet par la suite de dérouler plein d’autre voies parallèles. Pendant ce temps Delphine distille des conseils à Loan. Philippe K équipe rapidement l’une des voies parallèles car Dinny est prêt à s'entraîner suivi de Cécile (un peu moins rapidement, dur le réveil). Voilà ceux de l’Ouest arrivent... Ils sont venus finalement! Tout ce nouveau monde (Laurent, Arnaud, Hélène) s’équipe rapidement et s’entraîne à son tour. Passages de nœuds, conversions, descentes sur cordes tendue, décrochement, tricotage ou ajustage du simple mouvement de montée pour qu’il soit efficace. Grace aux conseils précis de Philippe K et Delphine, plusieurs personnes peaufinent leur réglage de matériel individuel personnel (torse et pédales pour Loan par exemple). Vers 13h seulement, nous sortons le casse-croûte et ceux qui ont pris de l’avance enchaînent avec une petite sieste.
Comme Claire équipera la vire descendante du bas, nous serons plusieurs à l’essayer de manière classique. Pour les tentatives inutiles : sans pédale, sans …, etc., on verra cela une prochaine fois. Des voies sont déséquipées, d’autres créées. Certains essayent ou règlent leur bloqueur de pied, d’autre apprennent le mouvement de montée dit « en alternatif » sur le plan incliné de gauche.
Cet après-midi, le soleil est généreux et malgré une légère brise sur les hauteurs, il fera presque chaud. Mais que cela fait du bien !
Vers 16h comme prévu, Dinny et Cécile nous quittent. Nous continuons à 9 avec plus ou moins d’entrain selon les personnes. Vers 17h, nous commençons à déséquiper.
Même si le soleil n’est pas trop bas encore, nous finissons par ranger toutes les affaires dans les voitures respectives. Mais voulant un peu plus profiter de cette journée de printemps, nous papotons encore.
Craignant les bouchons de retour dus aux travaux sur l’A6, nous décidons de rejoindre l’Ouest par les départementales. Nous découvrons ainsi de jolis paysages (La Ferté-Alais) mais nous devrons néanmoins subir quelques bouchons sur la N118. Ce trajet plus long que d’habitude offre un moment de repos nécessaire pour les passagers à l’arrière, après cette bonne petite journée spéléo et des débuts de week-end fatiguant.
Dommage que nous soyons tant de parisiens, banlieusards Ă  vivre tous au mĂŞme endroit. Moins nombreux, la vie serait parfaite surtout les week-ends de beau temps.

Alain


Participants

Claire B. , Thi Bich Loan D. , Cécile G. , Alain G. , Laurent J. , Philippe K. , Delphine M. , Dinny N. , Hélène P. , Arnaud S. , Philippe T.

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