30 ans

Date
Du 12 juillet 2014 au 19 juillet 2014

Durée
8 jours

Type de sortie
Camp
Département
Isère (38)

Massif
Vercors

Commune
Autrans

Photos







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Descriptif / Compte-rendu
Comment fêter les 30 ans du club dignement autrement que par un camp spéléo d’une semaine ?
Malgré de nombreuses réponses positives pour le camp, nous nous sommes retrouvés sept survivants sur toute la semaine. Mais le week-end, nous étions quinze…

Bref, commençons par le début.
Vendredi 11 juillet au soir, je me fais récupérer aux alentours de Lyon par la Fab’mobile (contenant Fabien et Sylvain) pour aller à Autrans dans le Vercors où nous avons prévu de passer cette semaine de camp. Le temps est brumeux et la pluie au rendez-vous dans le Vercors. Arrivés les premiers sur place (23h), et après une rapide conversation avec le propriétaire, nous voilà attablés autour de verres de Rhum cubain, attendant le reste des troupes… Mais la fatigue nous gagne et nous v’là finalement réveillés par l’arrivée des autres entre 3 et 4 h du matin (et bien sûr, ils ne sont pas tous arrivés en même temps !).

Samedi 12 juillet :
Au programme de la journée pour certains : baptême de plongée souterraine dans le lac de Gournier. Christophe encadre et n’y étant pas allée, je ne peux pas en divulguer plus... mais il parait que certains ont coulé…
Pour les autres (dont moi) : courses (remplissage acharné des caddies de bières et autres réjouissances gustatives…) et aussi repérage de l’entrée d’une cavité à faire dans la semaine : le gouffre du Gampaloup.
Nous nous retrouvons tous les 15 le soir au gite. Si ça fait plaisir de voir une si grande tablée, la préparation d’un dîner pour 15 l’est un peu moins… ! Au passage, je me fais disputer parce qu’il y a des légumes dans le bac à bières !! La soirée se passe agréablement et finalement, tout le monde se trouve un lit pour digérer les bières et les lasagnes.

Dimanche 13 juillet :
Nous prenons tous la direction du TQS, que nous allons faire par l’entrée des Saints de Glace, la traversée prévue initialement étant impossible, les niveaux d’eau sont trop hauts dans le TQS.
Un petit groupe part tôt (9h30, composé d’Alain, Loan, Laura, Christophe, Anne, Émeric et Gaëtan (le petit)) équiper la cavité pendant que d’autres se réveillent doucement autour d’un café.
Faisant partie du deuxième groupe, nous partons du gite vers 11h30, et à 12h30 nous rentrons (enfin !) dans la cavité. L’entrée des Saints de Glace est assez jolie, c’est un long méandre en descente (pour l’aller) que j’apprécie beaucoup, quelques petits passages de corde avant de rattraper le premier groupe. Mince, on n’a pas assez trainé autour du café… Quelques dizaines de minutes plus tard, nous revoilà repartis, descendant les petits puits, enfilant un autre méandre, des descentes rigolotes (mais aïe aïe aïe va falloir les remonter ?). Nous doublons la famille Depin qui a fait une halte casse-croûte à l’Ascenseur, pour finalement se retrouver au P11 de la salle Hydrokarst. Le niveau d’eau est assez bas puisque nous ne tombons pas directement dans le lac et en attendant que tout le monde descende, Fabien filme patiemment les arrivées depuis l’autre côté de la salle. La faim commence à se faire sentir et nous décidons (pour ceux qui n’ont pas mangé) de faire une petit halte à la salle du Soupirail. Là, je m’aperçois que certains manquent : Delphine, Philippe et Laura ont en effet filé vers le fond à la vitesse de l’éclair (ah bon ils ont fait des appels ?). Christophe, Anne, Émeric et Gaëtan (le petit) nous rattrapent pour finalement rebrousser chemin, les enfants sont fatigués. Je ne manque pas de leur donner des instructions pour le repas du soir puisque j’avais prévu un menu particulièrement gastronomique (enfin ...).
Nous décidons de continuer vers la salle de la Conciergerie. Il reste Jean, Fabien, Samuel, Sylvain, Gaëtan, Loan, Alain et moi. (8, +4, +3 … ouf le compte est bon).
Quelques galeries plus loin, et un passage de trou étroit un peu technique qui en font jurer plus d’un, nous arrivons dans la galerie des marmites, petites et grandes, elles sont magnifiques. Au bout, nous attend la salle de la Conciergerie -230 m. Là, Loan et Alain sont pris d’agitation et veulent continuer. Après quelques explications de Fabien et le fait qu’ils doivent être de retour à 21h, ils s’enfoncent dans les abimes des galeries. Je reste seule avec les hommes des cavernes (mais ils sont civilisés les ABIMES ! ou presque). Sylvain ayant trainé son appareil photo reflex truc machin dans un bidon avec deux flashes, on décide de faire une photo de la salle. Ainsi, quelques photos plus tard, nous repartons direction la sortie mais plusieurs arrêts photo nous ralentissent, un du groupe dans les marmites, un autre encore dans les marmites (pas facile de tenir la pause « fait semblant d’avancer » !!), un dans le trou (Binours a des abdos sous la mousse au chocolat, étonnant non ?), et un dernier dans la remontée du P11 de la salle Hydrokarst (j’ai vaincu mon vertige pour la photo !).
Après le puits, la remontée dans le méandre est plus ou moins rapide, même si certains râlent de l’étroitesse du méandre, moi je passe tranquillement, et sans encombre nous retrouvons la brume et la lueur du jour, il est 20h.
Retour au gite pour l’apéro ! Un des meilleurs moments de la journée, en plus y'a du vin blanc ! Mais je suis exténuée et dois préparer à manger, je cours, je jongle entre les poêles, sauce les plats, et fais le gratin d’aubergine à 4 mains avec Sam (heureusement qu’il est là, lui !). Je m’effondre sur le canapé le temps de la cuisson au four. Mais le repas est revigorant et, après une petite douche, la forme revient. La soirée continue dans la bonne humeur avec les digestifs et, peu après minuit, nous nous apercevons qu’on est le 14 juillet, jour où les pétards sont autorisés ! Après un petit détour par le dehors et une expérience avec du carbure et de l’eau, on revient au chaud au gite pour continuer les réjouissances autour de Rhum, Calvados et même Chartreuse !

Lundi 14 juillet :
Le réveil est difficile, quoique pour ma part j’ai fait la grasse mat’ jusqu’à 11h, mais j’ai été battu par Gaëtan (toujours vainqueur là dessus)... La famille Depin est partie et Jean, Sam, Laura et Binours se préparent tranquillement pour rentrer à Panam.
Restent donc que les meilleurs : Delphine, Philippe, Loan, Sylvain, Gaëtan, Alain et moi. Après un court débriefing, nous décidons, sous l’avis avisé de Delphine et Philippe, d’aller à Grotte Roche pour faire des photos. La première partie de la grotte étant horizontale, les photographes et porteurs de flashes ne prennent pas leur harnais. Le beau temps est de retour et nous partons vers 15h.
Arrivés à l’entrée, qui est un immense porche en dessous de la route, la préparation pour les photos commence. Un flash par là, d’autres là-haut, un modèle au milieu, test de la luminosité, pâté de sable (oui, le modèle s’ennuie), encore un flash (ils en avaient pris six !), hop une feuille sur la tête du modèle et finalement une heure plus tard, youpii ! une photo du porche réussie ! Mais quelques mètres plus loin, au fond du porche, on recommence. Ben oui, une vue de dehors, une vue de dedans du porche ! Voyons c’est logique !
Bref, on s’enfonce finalement dans cette cavité horizontale et après quelques rampings, on sort dans une grande galerie, tapissée de cascades plus ou moins actives, de gours, stalactites, stalagmites et autres spécialités des grottes, protégées par un balisage. La photo sous la cascade se fera au retour avec le parapluie d’Alain. Et oui j’ai trainé un parapluie dans un kit dans une grotte spécialement pour une photo !
On continue néanmoins vers une petite salle au fond de la galerie d’où part une échelle pour aller plus loin dans la cavité, sans Alain et Loan qui nous avaient abandonnés pour aller voir plus loin depuis un moment déjà. La salle est superbe, avec un énorme pilier central, brisée par un mouvement de terrain et des concrétions qui tapissent les parois. C’est l’heure de la photo !! Placement des flashes, test de la lumière, replacement des flashes, changement de canal, ça ne se déclenche pas, non pas assez de lumière, on en sort d’autres, problème de canal … etc... Une heure plus tard et après une sieste sur mon ami le caillou, on fait trois photos magnifiques ! Là-dessus, arrivent de l’échelle Loan et Alain, qui nous disent que la suite est assez jolie, de grandes galeries jusqu’à un siphon, mais il faut le baudrier pour un passage. Un peu endormie de ces photos, je motive Delphine et Philippe pour aller voir. Philippe prend le harnais de Loan et hop, c’est parti. On rampe pendant quelques mètres, puis on tombe sur une faille qu’on doit descendre pour arriver en haut d’une salle bien concrétionnée avant de continuer vers les grandes galeries qui mènent au siphon. C’est superbe ! et quel éclairage entouré de deux scurions !! Au siphon, nous rebroussons chemin et ne retrouvons les autres qu’à l’entrée, sous le porche. Ils avaient bien sûr fait la photo du parapluie pendant ce temps.
Retour au gite pour l’apéro, et un bon diner composé de quiche (où j’avais caché des légumes…), puis dodo pour certains et la balade nocturne pour d’autres, enfin juste moi. Le ciel est magnifique, les étoiles sont au rendez-vous, les planètes aussi et je croise un blaireau curieux.

Mardi 15 juillet :
Le frigo commence à être bien vide, il est temps de faire les courses. Delphine et Philippe se dévouent, prétextant devoir passer acheter des chaussures. Le reste de la troupe est motivé pour aller au gouffre du Gampaloup. On n’a pas fait le repérage pour rien ! On imprime plusieurs topos car Delphine et Philippe disent qu’ils nous rejoindraient peut être.
Comme la veille, on part relativement tôt (15h) mais le gouffre est proche et la marche d’approche courte... Pendant qu’Alain et Loan partent équiper, Sylvain sort son appareil photo et on fait la photo de sortie de trou ! Puis nous rentrons dans la cavité. On rampe, on marche, à droite, à gauche. Tiens ça ferait une belle photo ! En position tout le monde ! Sylvain à l’appareil photo, Gaëtan au flash, moi au modèle. Au top de l’organisation, nous faisons de super photo dans les puits, sur les pas d’Alain et Loan qui n’avaient pas fini d’équiper la suite. On continue et on tombe sur la salle des éclopés. On trouve la suite de la cavité d’après la topo et ohh surprise c’est pas équipé ! Mais où sont donc passés Alain et Loan ? Quelques instant plus tard, on les entend : ils revenaient de la galerie ouest ( ?) … Le temps d’attendre que Loan équipe, le fond de l’air se rafraichit… faut bouger, danser sur place, voler la dudule de Sylvain... bref le froid pénètre. Mais enfin, on bouge pour descendre quelques puits. Il fait froid et on entend une cascade au fond des puits. En effet, arrivés en bas, c’est le lac du Tamponnoir, avec une grosse cascade qui se déverse dedans. Au vu de l’heure tardive, on ne continue pas malgré la galerie que l’on voit de l’autre côté. Le retour est rapide, pas de pause photo, on a un peu froid. Gaëtan sort le premier, suivi de moi et Sylvain. Nous attendons Loan et Alain qui déséquipent et les mouches nous encerclent. On remonte ensuite aux voitures, remarquant au passage que Delphine et Philippe ne sont pas coincés dans la cavité sans corde : ils ne sont pas venus.
Ce soir, ce n’est pas moi la cuisinière, et je peux profiter pleinement de l’apéro, admirant les belles photos de la journée. Après le diner, on se retrouve quelques uns pour une promenade digestive sous les étoiles (Delphine et Philippe sont fatigués de leur achat de chaussures, Loan et Alain se couchent) J’initie alors Sylvain et Gaëtan à l’astronomie mais ils ont une certaine réticence à me croire ! Je ne comprends pas...

Mercredi 16 juillet :
Aujourd’hui, grand jour d’équipement pour certains : ils ont promis d’équiper une partie du Gouffre Berger. Alain, Loan et Sylvain partent tôt pour accomplir leur mission.
Delphine, Philippe, Gaëtan et moi restons à se demander ce qu’on va faire. On opte pour la grotte de Roche-Chalve, que personne du groupe n’a visité.
Après un petit bout de route, nous voilà au début du sentier, il faut trouver l’entrée de la cavité, mais comme a dit Delphine, Patrice l’a trouvée, alors si on ne la trouve pas, c’est un échec cuisant ! Nous prenons donc le chemin indiqué sur le plan, cherchons un poteau électrique qui n’existe plus et grâce au GPS de Gaëtan, nous trouvons l’entrée. Trop facile ! La vue est magnifique du bord, 1450 mètres d’altitude environ, avec vue sur une vallée un peu encaissée et les montagnes en face, il fait super beau et s’équiper est difficile. Il est 17h… (tôt hein ?)
Néanmoins, nous voilà prêts à partir, Philippe prend les cordes et hop dans le trou. On n’avait juste pas prévu que ce trou serait si boueux et étroit ! On commence par une petite descente dans la boue, et à l’aide d’une corde on rejoint un méandre pas très étroit. Après que Philippe se soit trompé de galerie, on emprunte une conduite forcée qui nous mène à une superbe galerie étroite. Les parois sont magnifiques, façonnées par l’eau, on voit les différentes strates et franchement c’est un plaisir pour les yeux, après les passages boueux. Quelques puits (très étroits) plus loin, on se retrouve dans une assez grande galerie, au plafond penché que l’on continue à descendre un peu. Les calcaires sont en lamelle au niveau des parois et c’est impressionnant par endroit. On a dû faire un petit -100 déjà. Mais l’heure avance, et on s’était dit avec les autres qu’on irait faire restaurant se soir.
On rebrousse chemin, et quelques jurons plus tard (y'a un passage vraiment étroit !), on retrouve la boue pour ressortir (presque) tout propre du trou, encore sous le soleil. On se dit qu’il faut revenir ! À savoir par contre : prendre des cordes 1,5 fois plus longues que celles prévues sur le topo-guide !
Retour au gîte, où on arrive en même temps que les gens du Berger. Pas de restau ce soir, tout le monde est fatigué et il est trop tard. Néanmoins, le plaisir de la balade nocturne s’est répandu et ce soir, on est cinq ! Alain et Loan nous rejoignent. Gaëtan vérifie avec une des applications de son téléphone le nom des étoiles que je pointe ! Merci la confiance ! On cherche ensuite des satellites, allongés en ligne sur la route, imaginant une rencontre avec un pick-up et le bel encadré que ça ferait dans le journal !

Jeudi 17 juillet :
Aujourd’hui, ça change, du moins pour une partie du groupe, c’est canyon ! Avec Vincent (Loan, Alain et Sylvain sont de la partie). Il fait super beau, chaud et ça fait trop du bien de plonger dans l’eau fraiche des montagnes. On commence par le Furon « express », à la fois pour m’initier (je suis la seule à n’en avoir jamais fait) et pour commencer tranquillement la journée avant midi. Une glissade, un saut, un rappel, plein de glissades et hop c’est fini ! (20 minutes) On le refait !
Revigorés de ce petit canyon, on descend du côté de Sassenage pour faire la partie basse du Furon, là où se déversent les Cuves de Sassenage. Mais d’abord, pause repas dans l’herbe au soleil. Rebouger après le déjeuner est difficile mais la petite marche d’approche réveille un peu. Et nous voilà dans le canyon. Il est vraiment joli, plein de glissades, de passages souterrains, de cascades, dont une grande magnifique (17 mètres), cachée du chemin qui longe le canyon. On finit par deux autres cascades, assez encaissées où le courant nous pousse. Certains font des sauts, mais Vincent est gentil et me met la corde. On en ressort lessivés mais heureux d’avoir barboté dans les eaux du Furon.
Pendant ce temps, Philippe, Delphine et Gaëtan sont allés faire des photos à la grotte Favot. Une énorme entrée comme un boyau, qui descend, suivi de jolies salles, avec des lacs, des gours … (j’ai vu que les photos…).
Ne rentrant pas trop tard, après le nettoyage des cordes des précédents jours à la rivière, on décide d’aller au restaurant à Autrans. Le village est vraiment tout proche et assez rapidement on se décide pour le restaurant de la Poste. Sans mettre trop de détail parce que ça commence déjà à être long, on a bien mangé, bu, rigolé et fêté les 30 ans d’ABIMES ! Même le serveur était de la partie (ou presque…)

Vendredi 19 juillet :
Pour notre dernier jour, on avait tous convenu d’aller aux Cuves de Sassenage. Départ relativement tôt, 10h00 (par rapport aux autres jours) pour passer prendre le badge. Le temps de la marche d’approche et d’enfilage de notre équipement, nous rentrons dans les Cuves à 11h30. Un peloton de tête composé de Delphine, Philippe, Alain et Loan part rapidement devant, avec pour objectif le fond ! Sortie prévu vers 2-3 voir 4h du matin. Pendant que Sylvain et moi on prévoit de trainer et de faire des photos (mais avec un petit compact cette fois). Ainsi donc, arrivés à la salle Saint-Bruno (fin de la visite touristique), on perd les autres de vue. Les galeries sont immenses, pleines d’éboulis et on avance tranquillement jusqu’à la Salle à Manger, où bien sûr, on mange ! Mais on fait aussi des photos artistiques avec le ruisseau ou même avant, le long de la vire. Puis on continue doucement notre chemin, passant quelques puits pour arriver au Boyau Rond (c’était l’objectif…). On teste un éclairage avec nos lampes de secours en remplacement des flashes et finalement on arrive à faire de belles photos de cette curiosité géologique. Sur la route du retour, on s’arrête aussi faire des photos des parois (entre autres), recouvertes de calcaire à silex jaunes et noirs. Nous ressortons en trainant un peu dans les galeries annexes et dans la partie touristique pour retrouver le soleil vers 16h.
De retour au gite, c’est nettoyage du matériel, et en particulier des kits. N’attendant pas les autres avant 2-3h du matin, je prends mon temps avant de faire à manger : je pars faire une sieste. Surprise ! Peu après 20h, Gaëtan, qui était parti se promener au dessus d’Autrans, rentre en même temps que les autres des Cuves de Sassenage : soit disant le P60 (ou P80 ?) de la salle Carrel n’était pas engageant, ils ont préféré faire demi-tour !
Durant l’apéro et le repas, on se demande bien comment on va faire pour ranger tout le gite et le matériel pour 10h demain (heure où on doit normalement quitter les lieux)…

Samedi 20 juillet :
La nuit porte conseil et motivés on se lève à 8h pour un départ à 10h. Le petit déj' se fait en même temps que le rangement (heureusement qu’on a pris le forfait ménage !).
Finalement on se décide pour aller voir la propriétaire et lui demander de partir à midi, et ouf, elle accepte. On ralentit alors le rythme, pas trop motivés de partir. A 11h15 tout est prêt, on s’octroie une pause casse-croûte pour finir le frigo et partir le ventre à peu près plein. On décolle tous vers 13h du gite.

Et voilà, on a fêté les 30 ans d’ABIMES, dans la joie et la bonne humeur, dans la boue comme dans l’eau, dans les étroitures comme dans les galeries, dans les méandres et les puits, c’était une super chouette semaine ! Merci à tous.

Vassilissa

Participants

Jean C. , Fabien C. , Sylvain C. , Christophe D. , Anne D. , Alain G. , Philippe K. , Vincent K. , Laura L. , Samuel L. , Delphine M. , Gaëtan P. , Vassilissa V.

Commentaires

Commentaire posté par Alain le 25/08/2014
Au lieu de faire la sieste apres la ""cantine" je lis ce CR. Que de bon souvenirs.
A une prochaine...merci Vass pour ces recits